L'impact de la fessée infligée à Corinne Lemoine pour l'ouverture du film de Claude-Bernard Aubert tire sa force de l'authenticité de la scène. Dans le ciné-revue du mois de novembre 1976, l'actrice interrogée par Sabine Edelstein ne manque pas de souligner : "La fessée est authentique. Elle ne dure pas longtemps mais je vous assure que les claques que j'ai encaissées m'ont fait très mal et c'est le moins que je puisse avouer". Il ne faut pas s'étonner dès lors du succès enregistré par le film dont je vous ai proposé déjà une des fameuses séquences.Vous oublierez vite (ou pas) le début de la scène pour vous attarder sur cette magnifique correction, administrée les fesses nues après un retroussage rapide de la robe. Les ruades de Corinne Lemoine, son beau fessier qui rosit sous la fessée magnifient la scène et lui donne une saveur bien particulière que seuls les vrais amateurs peuvent savourer.
Silence... on tourne ! Depuis le premier film des frères Lumière, la fessée a enrichi le patrimoine cinématographique des réalisateurs. Fort en émotions, cet acte qui se veut punitif au départ peut prendre une connotation érotique et servir d'exutoire entre adultes consentants. De John Ford aux frères Cohen en passant par les scénaristes de tous les pays du monde, la tentation d'exposer sur l'écran blanc de nos fantasmes cet acte majeur d'amour a souvent titillé les plus grands partenaires du cinéma populaire, érotique ou X. Je vous propose de revisiter quelques-unes des fessées les plus fameuses tournées au grand vent de l'histoire du cinéma. Silence... on fesse !
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