Maureen O'Hara |
Jusqu'à quel point cette scène a-t-elle influé sur mon avenir de spanko quand je l'ai découverte sur grand écran ? Je ne peux répondre à cette question mais la vision de Maureen O'Hara essayant d'échapper à la colère de John Wayne, tombant puis se relevant en sachant que la fessée arrivait pour sanctionner son foutu caractère de cochon, esquissant un trait d'union entre la mégère apprivoisée de William Shaekespeare et son rôle d'épouse intenable me subjugua. Mieux, elle me fit entrevoir la possibilité d'exercer à l'encontre des jeunes femmes que j'allais rencontrer une attitude parfois sévère, engendrant une réaction inattendue chez elles, empreinte d'une honte indicible de se voir traitées comme un enfant désobéissant et un trouble perceptible quand ma main s'abattait sur leur derrière déculotté.
Voilà donc le secret du "Grand Mc Lintock", au départ un western sans prétention aucune mais qui déboucha à la longue sur une scène culte, propre à éveiller les sens de milliers de personnes surprises par la fessée magistrale que reçoit la belle Maureen, bien minuscule sur les genoux du grand John Wayne et ne masquant pas la douleur que lui infligeait la percussion réelle d'une pelle à charbon sur son auguste fessier. La morale de l'histoire était toute trouvée pour mon esprit qui s'éveillait. Comme le suggère un compagnon de Mc Lintock, il fallait savoir lever la main quand l'exaspération est à son comble devant l'attitude capricieuse de ces dames de compagnie, et quelque chose me disait alors qu'elles n'attendaient que ça, me confortant dans l'idée que la fessée domestique est la plus belle conquête de l'homme...
Ravie de vous retrouver ; ces photos me transportent.
RépondreSupprimerMerci
Clara
Merci Clara. Je suis très sensible à votre bonheur et ravi également de pouvoir continuer à partager mes découvertes.
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