Silence... on tourne ! Depuis le premier film des frères Lumière, la fessée a enrichi le patrimoine cinématographique des réalisateurs. Fort en émotions, cet acte qui se veut punitif au départ peut prendre une connotation érotique et servir d'exutoire entre adultes consentants. De John Ford aux frères Cohen en passant par les scénaristes de tous les pays du monde, la tentation d'exposer sur l'écran blanc de nos fantasmes cet acte majeur d'amour a souvent titillé les plus grands partenaires du cinéma populaire, érotique ou X. Je vous propose de revisiter quelques-unes des fessées les plus fameuses tournées au grand vent de l'histoire du cinéma. Silence... on fesse !

samedi 14 mai 2011

Wagon train (1960)

Susan Oliver
Mesdames, un conseil... Si vous avez envie de manifester votre désarroi pendant une fessée, de trépigner, crier, pleurer, ne vous freinez pas. Faites comme Susan Oliver dans l'épisode de Wagon Train "The Maggie Hamilton story". Elle reçoit une punition méritée, que dis-je une fessée, couchée sur les genoux de
Flint McCullough, l'homme que ses parents ont payé pour la rechercher. La jeune fille avait fugué et menacé son chercheur d'un pistolet hélas sans munition. Alors, la sanction est tombée, juste mais sévère. Maggie s'est retrouvée à plat ventre sur les cuisses de celui qu'elle avait voulu trucider. Sa robe a été relevée et son pantalon long (ancêtre de la petite culotte) enserrant ses belles petites fesses ne l'a pas protégée des claques qui tombaient, rudes et fréquentes. Elle a pleuré, gigoté mais a fini par accepter son sort. La fessée possède des vertus que les vertus ignorent. Pas vrai ?

4 commentaires:

  1. C'est à la fois une scène de fessée dont j'adore tout simplement le contenu et à la fois une scène qui m'a extrèmement touchée, j'en ai les larmes aux yeux (suis trop sensible comme fille !)

    Merci Georges pour ce blog que je trouve d'une qualité remarquable, je déplore que les passionnés n'interviennent pas plus souvent sur ses petites scènes...

    En tout cas, moi je les apprécie vivement ! Merci, Merci !

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  2. C'est un peu de ma faute Elea, si les passionnés n'interviennent pas plus souvent. Depuis la suppression de mon premier blog, "Le Monde de la fessée", j'ai perdu beaucoup de mon envie de partager avec tout un chacun le délice de ces petites scènes fort suggestives pour les connaisseurs.

    Cette fessée que reçoit Suzanne Oliver possède c'est vrai tous les atouts pour créer une émotion particulière. D'abord, elle est punitive et les réactions de la "receveuse" amplifie la montée d'adrénaline bien connue des pratiquants. Ce n'est pas le premier témoignage positif que je reçois sur cette scène.

    Aimeriez-vous vivre la même aventure ?

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  3. A tout point de vue je vous réponds oui !
    La fessée punitive pour une vraie bêtise est quelque chose qui me fait terriblement fantasmer...
    Jusqu'au moment où elle demande pardon avec les larmes qui coulent et qu'elle est consolée dans les bras de l'homme qui l'a punie précédemment.
    J'aime, J'adore !!!

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  4. J'ai remarqué depuis le temps que les femmes fantasmaient beaucoup sur la fessée punitive. Encore faut-il réunir tous les ingrédients pour vraiment la vivre passionnément : une personne pour laquelle on n'éprouve pas forcément au débuts de forts sentiments et par là même une fessée qui peut ne pas être désirée... Et puis, la bêtise qui arrive, la menace de la sanction et son exécution. La position enfantine sur les genoux du fesseur, et la mise à nu de la partie qui va être claquée. C'est à cet instant que tout bascule : le mélange de crainte et de honte partagé avec un sentiment de désir trouble teinté d'érotisme. C'est la magie de la fessée érotico-punitive.

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